BIBLIOGRAPHIE

« La mémoire cellulaire est un concept qui donne toute sa place au corps et nous connecte à lui en nous faisant reconnaitre nos émotions et nos ressentis. Il nous permet par un travail de conscientisation de nos souffrances, d’accéder à nos blocages en lien avec nos mémoires engrammées. 

 

Le travail de recherche sur soi en Mémoire cellulaire peut paraître exigeant car il nous demande dans notre quotidien d’être dans la conscience de nos actes et de nos pensées. 

 

Il implique d’accepter de vivre les expériences rencontrées qui sont autant de possibilités de faire les liens avec nos mémoires et ainsi d’évoluer.

 

Le concept de Mémoire cellulaire repose sur le corps jusque dans ses cellules. Il nous en fait ressentir et vivre son énergie, ses vibrations, ses résonances.

 

« En ce qui concerne la matière, nous avons eu tout faux. Ce que nous avons appelé matière est en réalité une énergie dont la vibration a été ainsi réduite à être perceptible par les sens [1]».

 

Depuis une centaine d’années, la découverte de la physique quantique nous ouvre à une autre façon d’appréhender ce qui nous entoure : « Si vous voulez trouver les secrets de l’Univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence, de vibrations »[2].

 

Une autre découverte de la science est le concept de « transmission mémorielle » ou épigénétique[3],   branche de la génétique, selon lequel des modifications dans l’environnement, dans nos façons de vivre modifient l’expression des gènes. Ces modifications peuvent être transmises d’une génération à l’autre (hérédité épigénétique).

 

En 2013 un chercheur[4] a montré que certains marqueurs épigénétiques pouvaient, chez les mammifères être transmis aux générations futures.

 

En 2014, des chercheurs de l'université Emory d'Atlanta (Etats-Unis) ont fait pour la première fois la découverte de la transmission d'un souvenir via … l'ADN[5].

 

Pour Eva Jablonska[6], spécialiste de l’hérédité épigénétique « l’épigénétique ne cesse de révéler des phénomènes que l’on ne comprend pas encore. Il est temps que la communauté scientifique s’en empare ».


Extrait du mémoire 2019 de Sylvie Bary



[1] Albert Einstein

[2] Nikola Tesla (1856-1943)

[3] L’épigénétique correspond à l’étude des changements dans l’activité des gênes n’impliquant pas de modification de la séquence ADN et pouvant être transmis lors de divisions cellulaires, contrairement aux mutations qui affectent la séquence ADN. Les modifications épigénétiques sont réversibles. INSERM

[4] Jamie Hackett - Slate.fr « héritage épigénétique : la mémoire dans la peau » juillet 2020

[5] Kerry Ressler et Brian Dias - ADN : il transmet aussi nos souvenirs ! – Science et Vie mars 2014- ANNEXE III

[6] Institut Cohn – Tel Aviv


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